« La Prisonnière et le Geôlier », est la dernière pièce en compétition du 1èe festival du théâtre professionnel présentée ce lundi 30 décembre au théâtre national Mahiieddine Bachtarzi Nouvelle production du théâtrale régional de Guelma, ce spectacle dépeint les souffrances des prisonnières palestiniennes dans les geôles de l’occupation sioniste, comme l’ont annoncé les responsables de la production ce dimanche.
Écrite et mise en scène par le professeur Fouad Rouaïssia, le texte de cette pièce, ses personnages et ses événements, sont entièrement issus de l’imaginaire du dramaturge. L’action principale se déroule dans une prison israélienne où une détenue palestinienne, symboliquement nommée « Shourouq Maqdisi Kanaan », résiste avec courage au supplice, à la douleur et à l’obscurité de l’enfermement, portée par une détermination et une dignité inébranlables.
Par son courage et sa résilience, l’héroïne, doyenne des prisonnières palestiniennes, plonge sa geôlière, appelée « Rafaya », dans un profond trouble psychologique. Cette dernière ne parvient pas à comprendre comment sa prisonnière peut conserver foi en sa cause et espérance en la liberté, tout en affrontant la souffrance et les humiliations, alors qu’elle-même, en dépit de conditions de vie privilégiées, est rongée par l’angoisse et le désarroi.
L’auteur a choisi un nom hautement symbolique pour son personnage principal : Shourouq évoque l’aube et l’espoir en la liberté, Maqdisi rappelle Al Qods, capitale éternelle de la Palestine, et Kanaan témoigne de la continuité historique de la présence palestinienne sur cette terre. D’autres éléments symboliques enrichissent la pièce, comme la naissance d’un enfant au sein de la prison, représentant l’avenir de la résistance, ou encore la clôture du spectacle par la proclamation : « Cette terre est mienne », affirmant un attachement indéfectible à la patrie et une détermination à poursuivre la lutte.
Interprétée par 12 comédiens de divers horizons, la pièce mêle des scènes dramatiques à une mise en scène esthétique intégrant musique, chorégraphies et expressions corporelles. Elle se veut un geste de solidarité envers le peuple palestinien et met en lumière le sort souvent occulté des femmes détenues. Le spectacle reflète également le soutien indéfectible de l’Algérie, tant au niveau officiel que populaire, à la cause palestinienne.
Écrite et mise en scène par le professeur Fouad Rouaïssia, le texte de cette pièce, ses personnages et ses événements, sont entièrement issus de l’imaginaire du dramaturge. L’action principale se déroule dans une prison israélienne où une détenue palestinienne, symboliquement nommée « Shourouq Maqdisi Kanaan », résiste avec courage au supplice, à la douleur et à l’obscurité de l’enfermement, portée par une détermination et une dignité inébranlables.
Par son courage et sa résilience, l’héroïne, doyenne des prisonnières palestiniennes, plonge sa geôlière, appelée « Rafaya », dans un profond trouble psychologique. Cette dernière ne parvient pas à comprendre comment sa prisonnière peut conserver foi en sa cause et espérance en la liberté, tout en affrontant la souffrance et les humiliations, alors qu’elle-même, en dépit de conditions de vie privilégiées, est rongée par l’angoisse et le désarroi.
L’auteur a choisi un nom hautement symbolique pour son personnage principal : Shourouq évoque l’aube et l’espoir en la liberté, Maqdisi rappelle Al Qods, capitale éternelle de la Palestine, et Kanaan témoigne de la continuité historique de la présence palestinienne sur cette terre. D’autres éléments symboliques enrichissent la pièce, comme la naissance d’un enfant au sein de la prison, représentant l’avenir de la résistance, ou encore la clôture du spectacle par la proclamation : « Cette terre est mienne », affirmant un attachement indéfectible à la patrie et une détermination à poursuivre la lutte.
Interprétée par 12 comédiens de divers horizons, la pièce mêle des scènes dramatiques à une mise en scène esthétique intégrant musique, chorégraphies et expressions corporelles. Elle se veut un geste de solidarité envers le peuple palestinien et met en lumière le sort souvent occulté des femmes détenues. Le spectacle reflète également le soutien indéfectible de l’Algérie, tant au niveau officiel que populaire, à la cause palestinienne.